Le 26 et après ? Et comment ?
Alors que l’école subit des attaques sans précédent, alors que les manques accumulés depuis des années déjà seraient à peine compensés par un plan d’urgence, qui ne vient, de toute façon, pas, malgré la crise sanitaire (c’est l’hôpital qui se moque de l’école) :
– les Dotation Horaires Globales viennent de tomber dans les bahuts et les moyens baissent encore partout !
– les synthèses des groupes de travail du grenelle de l’éducation viennent de sortir et ça va plaire au ministre : elles vont toutes dans le sens de la destruction du service public d’éducation rêvé par Jean-Mi, son ministère, le gouvernement et les libéraux qui voient l’école comme un énième marché !
Voir à ce sujet notre article : « Grenelle de l’éducation: notre Ecole s’autodétruira dans 10,9,8,7… »
Rien de nouveau, rien d’étonnant, me direz-vous. C’est vrai, mais alors, comment se sort-on de cette situation et du marasme ambiant ?
Ce mardi 26 janvier plus de 40 % des personnels de l’Éducation nationale se sont mis.es en grève à l’appel de l’intersyndicale CGT-FSU-SUD-FO-SNCL. Le contexte de l’arrivée dans les académies et les départements des enveloppes budgétaires pour la rentrée 2021 a également provoqué un fort mécontentement, de même que la gestion erratique de la crise sanitaire.
Dans le contexte difficile pour le mouvement social que constitue la crise sanitaire, cette journée de grève et de manifestations est un signe qui doit nous encourager ! Ne laissons pas la place au fatalisme, terreau propice aux choix politiques destructeurs du sinistre Blanquer !
Les AED, les AESH, les étudiant.e.s, les animateur.trice.s l’ont bien compris. Sans attendre le 26, ils et elles étaient déjà mobilisé.e.s massivement et comptent désormais de nombreuses journées de grève à leur actif.
D’ailleurs, leurs prises de paroles lors de l’AG de grévistes, et leur présence massive et bruyante dans la manifestation qui a suivi, ont grandement contribué à dynamiser cette journée.
Il s’agit maintenant de créer un réel mouvement, de l’ancrer dans la durée et de mettre en place un rapport de force en mesure de faire plier ce gouvernement. Ceux qui le composent et ceux qui le soutiennent n’ont pas les mêmes intérêts que nous, ils ont l’état d’urgence qui leur donne les coudées franches pour passer en force et à toute vitesse toutes les mesures anti-sociales (tu perds ton sang froid), libérales, (tu perds ton boulot) et liberticides (tu perds tes libertés). L’Ecole n’est pas en reste et les pétitions, les rassemblements, les motions, les défilés n’ont jamais suffi , leur politique s’appliquera tant qu’on ne les arrêtera pas.
Au-delà de notre secteur, c’est l’ensemble de la politique antisociale du gouvernement qu’il s’agit de combattre. Dès à présent, la date de grève interprofessionnelle du jeudi 4 février nous permettra de rejoindre les autres secteurs en lutte.
L’appel de l’intersyndicale Education 31 à retrouver ICI et pour tout savoir sur la grève du 4 février cliquez sur l’image ci-dessous:
Grenelle de l’éducation: notre Ecole s’autodétruira dans 10,9,8,7…
Le Grenelle de l’Éducation est en voie de se terminer, Blanquer va bientôt se saisir des synthèses des différents ateliers qui y ont eu lieu pour réformer l’Éducation nationale. Mais quels étaient donc ces ateliers, et quelles sont les recommandations qui ont émergé ?
On aurait pu imaginer :
- Synthèse de l’atelier liberté pédagogique : mise en place de formations à la demande des enseignant.e.s et aides à la mise en place de pédagogies émancipatrices
- Synthèse de l’atelier inclusion : embauche dans les RASED, de psychologues scolaires, ouvertures massives de dispositifs ULIS, UPE2A, etc. avec mise à disposition des enseignant.e.s de temps pour étudier les possibilités d’inclusion des élèves
- Synthèse de l’atelier rémunération : Fin de la rémunération par prime (hors cotisations sociales et n’ouvrant donc aucun droit social) pour une revalorisation salariale
- Synthèse de l’atelier précarité : Création de statut accompagné d’un vrai salaire pour les AESH, AED et titularisation de tou.te.s les précaires qui le souhaitent
- Synthèse de l’atelier démocratie au travail : institution de temps en équipe pour la gestion administrative collective de l’école et des projets pédagogiques avec une hausse de moyens pour la réalisation de ces projets
- Synthèse de l’atelier droits des fonctionnaires : information des personnels sur leurs droits avec embauche massive de remplaçant.e.s pour permettre les stages et réunions syndicales et l’acceptation sans condition de tout temps partiel demandé.
Ne rêvons pas, le monde d’après ressemble énormément au monde d’avant : c’est toujours Blanquer notre ministre et son aveuglement idéologique semble lui cacher les 40 ans de désastre que cause le néolibéralisme dans les conditions de travail, la perte de sens des métiers, la destruction des services publics, etc.
En réalité, les propositions émanant de ce Grenelle font peur… Pour rappel, les ateliers qui s’y tenaient étaient : « autonomie et déconcentration », « collectifs pédagogiques », « écoute et proximité », « encadrement », « formation », « gouvernance », « mobilités », « numérique », « protection des valeurs de la République » et « revalorisation ». Outre les quelques lubies chères à notre ministre : numérique et valeurs de la République, on pourrait se dire qu’il aurait été possible d’avoir des propositions comme imaginées plus haut ! Mais, en lisant plus précisément, on déchante rapidement :
- Sur les salaires, effectivement, une revalorisation sera proposée mais elle sera au « mérite » ! Elle dépendra de l’investissement hors temps scolaire des enseignant.e.s (formation pendant les vacances ; le retour?). D’ailleurs, il est proposé d’en finir avec le PPCR (cet acronyme ne désigne pas un coton-tige dans le nez mais le principe d’un salaire attaché au/à la fonctionnaire augmentant tout au long de la carrière) ! En effet, l’avancement à l’ancienneté, c’est trop cher pour Blanquer ; des sous pour les seul.e.s méritant.e.s !
- Le fameux chaînon hiérarchique manquant dans les écoles : 4° tentative (1° tentative par Monory en 1987, puis deux autres par Blanquer en deux ans à peine ; voici donc la quatrième tentative). Concours d’accès spécial, validé par le/la DASEN pour s’assurer de l’obéissance, évaluation des enseignant.e.s par la direction…
- L’enseignement secondaire de demain sera managérial : suppression des CHSCT, possibilité pour les chef.fe.s de recruter directement les enseignant.e.s, déjà que c’est chiant d’avoir des chef.fe.s, maintenant, on va avoir des chef.fe.s-DRH !
- Autonomie des établissements : attention, ne pas s’y tromper, on ne parle pas ici de l’autonomie type autonomie ouvrière comme en Italie dans les années 1970, ni de l’autonomie de type auto-organisation à la Castoriadis n’y même de l’autonomie individuelle conviviale comme prônée par Illich ! Ici, chaque établissement devra être autonome dans son lien avec l’État-gestionnaire et prouver au ministre qu’il lui est bien soumis (donc hétéronome) s’il veut avoir des moyens, de plus, on annonce la fin d’un cadrage national des établissements REP, on s’avance vers une privatisation totale de l’enseignement. En revanche, des établissements voulant une trop grande autonomie réelle quant à ses liens avec l’État sera vite privé de moyen et subira des sanctions… Quelques sigles qui devraient faire leur apparition et dont il faudra très vite se méfier car ils cachent un avenir très gris : PARE et DOCOB
Mais d’où sortent ces propositions dignes d’une dystopie ? Qui sont ces gens (tirés au hasard?) qui nous balancent ces idées ? Sûrement pas de profs en tout cas ! Petit indice ; la grande majorité de ces propositions coïncident avec les argumentaires jonchant les livres qu’a écrits Blanquer traitant de sa vision de l’École.
Il ne faut pas se mentir, cette destruction de l’École n’est pas due à un manque de lucidité ou de discernement de la part de l’exécutif ; c’est un choix politique. Pour le combattre, il ne faut pas « rétablir la vérité » sur nos métiers, nos conditions de travail, etc. pour faire entendre raison aux décidants. En réalité, toutes ces mesures relèvent d’un choix, conscient, éclairé et avant tout politique. Nous ne pourrons les combattre qu’en construisant un rapport de force et en imposant notre vision de l’École !
Un article du café pédagogique qui décortique le schmilblick :
https://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2021/01/26012021Article637472421238032434.aspx
Et si vous voulez vous faire votre idée vous-même, les synthèses des différents ateliers sur le site-même du min-austère :
https://www.education.gouv.fr/grenelle-de-l-education-syntheses-des-ateliers-309067
#DeconfinonsLeursDroits !
Une campagne de sensibilisation et de mobilisation du Réseau Education Sans Frontières 31 avec le concours du photographe Ben Art Core
Enfants scolarisés et familles sans-papiers
Régularisez !
Goûter solidaire vendredi 29 janvier 16h30 Maison de quartier de Bagatelle
Ecoles Clément Falcucci / Georges Hyon / Papus / Sylvain Dauriac / Ronsard
Les collectifs d’établissements scolaires y tiendront une table militante sur laquelle seront proposées des pétitions à signer. Initiative organisée avec rappel de l’application des consignes de sécurité sanitaire.
Rassemblement devant la Préfecture 3 février à 16h30
Les familles et les collectifs d’établissements scolaires reviendront devant la Préfecture de la Haute-Garonne pour demander collectivement l’accès aux droits et à des papiers pour toutes et tous.
Ecoles Renan, Claude-Nougaro, Monge, Jean-Alphand, Hélène-Boucher, Ferdinand-de-Lesseps Alain-Savary, Collèges Jean-Jaurès, Les Chalets, Michelet, Leonard-de-Vinci, lycées Eugène-Montel, Françoise-Dissart… Dans ces établissements, et en dépit de la situation sanitaire, la communauté éducative se mobilise avec les enseignant.e.s, les parents d’élèves, des citoyen.n.es, pour que les enfants et leurs familles puissent vivre dignement en France et aient accès aux droits fondamentaux, droit à un logement, droit à la santé, droit au travail…
Pétitions, petits déjeuners, goûters, permettent de faire vivre la solidarité au quotidien, d’aider ces enfants et leurs familles à l’acquisition d’un titre de séjour pérenne.
Lutte contre l’extrême droite: le combat continue
Appel unitaire contre l’opération « anti-migrants » : des nervis d’extrême droite “patrouillent” dans les Pyrénées…
Source : Vigilance et Initiatives Syndicale Antifasciste
Mardi 19 janvier, une trentaine d’activistes du mouvement Génération Identitaire menaient en catimini une action de propagande xénophobe. Tout de Schtroumpf vêtus, les nervis en doudounes bleues se sont ainsi pavanés seuls au col du Portillon, entre Luchon et le Val d’Aran, exhibant leurs fiers 4×4 floqués de leur logo. Au programme, balade en raquettes et jolies photographies de montagne… Si la peur de l’étranger était au rendez-vous, la peur du ridicule, en revanche, était absente…Une action totalement hors-sol, menée par une poignée de néo-fascistes en manque de médiatisation.
Ce groupuscule est abonné à ce genre d’actions “spectaculaires” uniquement vouées à faire le “buzz” et à attirer l’attention sur leurs idées nauséabondes. Deux ans après une opération similaire menée à la frontière franco-italienne, le groupuscule récidive, jouant les gros bras venus surveiller et défendre leur nation barbelée, en renfort à une politique étatique déjà suffisamment xénophobe et alliée à leur cause… Car, malgré la dénonciation et l’indignation d’élu.e.s du Comminges et de la préfecture de police, soyons à peu près certaines et certains qu’aucun des trente fascistes ne sera réellement inquiété par la justice…
En décembre 2019, trois des cadres du groupuscule avaient à ce propos été relaxés pour une même opération menée dans les Alpes. La justice ne condamne pas forcément à égale mesure sbires d’extrême droite et Gilets-jaunes, à titre d’exemple…Le Collectif Migrants Comminges ainsi que les organisations ci-dessus dénoncent fermement cet acte, quoique risible et creux, d’une frange d’extrémistes tapageurs, dans un contexte déjà nauséabond d’acharnement contre migrant.e.s et sans-papiers. Nous dénonçons cet acte symbolique de rejet d’individus venus légitimement chercher refuge ici, des êtres fuyant des guerres réelles ou économiques menées dans des pays détruits par la mondialisation libérale et la politique passée et présente de nos États colons…
Nous dénonçons et agirons tel que nous le faisons quotidiennement, dans nos organisations, en vue d’offrir des conditions d’accueil décentes aux migrant.e.s, pratiquant de manière concrète la solidarité et l’entraide, sans besoin de “buzz” médiatique, d’un véhicule cher et viril ou de doudounes bleues.
Pour finir, nous invitons toute personne – accordant plus d’importance à l’humain qu’à des logiques de repli nationaliste et de xénophobie – à rejoindre nos organisations afin d’agir en faveur d’une société d’entraide et de partage.
Pour la fermeture des CRA.
Pour la régularisation de tous les sans-papiers.
Pour une égalité en matière de droit du travail.
Pour un accès aux soins, à l’ éducation et à un logement digne.Aucun être humain n’est illégal,la solidarité n’a pas de frontières !
Appel du collectif Collage Féministe Comminges :
Manifestation contre l’extrême droite et le racisme d’état pour l’ouverture des frontières !
« NO PASARAN » Ce slogan est ancré dans l’histoire des Républicains Espagnols notamment durant la bataille de Madrid pour repousser les Fascistes du Général Franco soutenu par Hitler et Mussolini.
En 1939, des milliers de réfugiés transitèrent par ce col et furent enfermés dans les camps de Rivesaltes, Garaison, Gurs…. par le gouvernement Français. En 1945, de nombreux guérilleros Espagnols qui avaient contribué à vaincre le nazisme repassent ce col de Portillon pour tenter de renverser le gouvernement putschiste de Franco. Beaucoup n’en sont jamais revenus. Depuis 1945 aucun état en Europe ne se revendique de ce temps nauséabond du fascisme. Le groupuscule génération identitaire vient la semaine dernière de souiller la mémoire de ces réfugiés et de ces guérilleros en osant depuis ce col symbolique tenter une opération de communication basée sur la haine de l’autre et la stigmatisation des migrants.
C’est une honte pour la France de voir ces Fascistes parader comme au plus beau temps de Vichy sans que les forces de l’ordre n’interviennent pour faire appliquer les lois de la République, notamment la Loi Gayssot qui considère « tout acte raciste et xénophobe
comme un délit ». Les médiats régionaux et nationaux ont rendu compte complaisamment de cette provocation nauséabonde. Génération identitaire prend bien soin d’éviter comme
Ménard ou Sanchez de parler de l’exploitation des migrants ici et dans les pays du sud par leurs amis du CAC 40. En fait, il semble assez usuel chez ces fascistes de détourner
l’attention des citoyens en distillant une pensée de haine si simple depuis toujours. Si
problème il y a, il est bien dans ces parades qui osent considérer qu’il y aurait une race
d’hommes Mâles Blancs dominants. Ces voyous se sentent des ailes avec l’envolée de leurs amis Yankees et de leurs feu dictateur Trump qui ont eux aussi osé assaillir le Capitole comme Hitler l’avait fait en son temps.
Il est plus que temps de barrer la route aux fascistes et à la haine.
Manifestation « Contre l’extrême droite et le racisme d’état », 11h col du Portillon
Samedi 30 Janvier à Toulouse et ailleurs: contre manifestation de « la manif pour tous »
Constitution du Collectif national « Pour un véritable service public de l’énergie ! »
Les organisations signataires de ce communiqué s’opposent au projet destructeur « Hercule » de scission du groupe EDF en 3 entités.
Le projet « Hercule », inspiré par des banques d’affaires, ne s’inscrit absolument pas dans une logique d’intérêt général mais dans une logique strictement financière.
Logique initiée avec la déréglementation imposée par l’Union européenne et conduite par les gouvernements successifs : la facture des usagers a flambé, les investissements nécessaires sur l’outil productif ne sont plus assurés, la péréquation tarifaire est menacée alors que c’est un élément essentiel à notre démocratie. Nous exigeons que soit effectué le bilan financier, humain, écologique des directives de déréglementation du secteur de l’énergie.
A l’unisson de l’ensemble des fédérations du secteur de l’énergie et des personnels du groupe EDF, ainsi que de plusieurs confédérations, nous demandons au Président de la République de renoncer au projet « Hercule ».
Puisque l’avenir énergétique du pays est intimement lié à celui d’EDF, il nous paraît indispensable que son avenir et sa mobilisation au service des enjeux énergétiques et climatiques du pays fassent l’objet d’un véritable débat social et démocratique avec l’en- semble des citoyens : que l’on soit usager, salarié du secteur ou élu, l’énergie est notre bien commun !
Toutes et tous doivent se mobiliser avec l’ensemble des organisations associatives, syndicales et politiques (aux niveaux national et local) pour la défense et le développement du service public et la promotion de ses valeurs.
Toutes et tous ont vocation à converger pour se mobiliser dans le cadre collectif créé ce jour : le Collectif national « Pour un véritable service public de l’énergie ! ».
Ce collectif a vocation à sensibiliser et mobiliser les usagers, les élus et les salariés du secteur en vue d’établir de fortes convergences.
La nécessaire transition énergétique et l’accès à tous de l’énergie, imposent de structurer les services d’efficacité et de performances énergétiques permettant de gérer collectivement nos ressources dans le seul souci de l’intérêt général et de la réponse aux besoins de nos concitoyens.
Le débat public, que nous demandons a vocation à dépasser le seul cadre du groupe EDF et à intégrer l’ensemble des filières du secteur de l’énergie, au-delà de la seule électricité, en vue de jeter les bases d’un véritable grand service public de l’énergie.
Un service public de l’énergie répondant, notamment :
aux besoins de l’ensemble des usagers, en premier lieu les plus précaires, et des territoires, y compris les plus fragilisés ; le droit à l’énergie, droit fondamental et essentiel, doit devenir pleinement effectif pour toutes et tous, partout ; l’égalité de traitement des usagers, la péréquation tarifaire et la tarification réglementée doivent être pérennisées.
aux défis de la précarité énergétique qui touche près de 5,5 millions de ménages (3 500 000 ménages déclarent souffrir du froid dans leur logement),
aux besoins d’investissements considérables de l’indispensable transition énergétique et écologique,
à la nécessité d’un développement durable : assurer notre indépendance énergétique, consolider et développer un modèle énergétique pilotable et respectueux de l’environnement, diversifier nos sources d’énergie en investissant dans la recherche et le déploiement d’énergies renouvelables, répondre aux enjeux du réchauffement climatique,
aux attentes légitimes des personnels du secteur de l’énergie en matière de conditions de travail et d’exigence de qualité du service rendu aux usagers.
Pour atteindre ces objectifs, il faut renoncer aux politiques strictement financières de libéralisation et de privatisation mais, au contraire, faire le choix d’une maitrise publique complète du secteur de l’énergie.
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