Postes à profil en CP/CE1 dédoublés.
Face à la gravité et à l’urgence l’intersyndicale Education 31 du 1er degré, appelle à la grève le vendredi 26 Mars !
On vous en parlait ICI la semaine dernière, on a un peu plus d’informations au niveau national sur le sujet, c’est pire ailleurs, mais ça reste un énorme problème dans tous les cas !
L’intersyndicale éducation du 31, appelle à la grève le vendredi 26 mars:
Où en est-on ?
A Toulouse, informé-e-s le 09 mars, les enseignant-e-s en poste dans ces classes vont devoir choisir avant le 31 mars : être titularisé-e-s sur un poste à profil cantonné-e-s à un seul niveau en signant un nouvel arrêté de nomination ou bien participer au mouvement. Les enseignant-e-s titulaires devront accepter des nouvelles missions dont ils n’ont actuellement pas connaissance.
En Aquitaine, c’est pire, les collègues en poste vont devoir passer un entretien pour rester sur leur propre poste, sachant que d’autres pourront postuler.
Les DASEN ont décidé en urgence et sans consultation du CTSD et du CDEN cette mesure de profilage des postes qui aura de graves incidences sur le fonctionnement pédagogique de l’école. En nette contradiction avec le Décret n° 89-122 du 24 février 1989 relatif à la répartition des élèves entre les classes et les groupes, elle dessaisit le conseil des maîtresses et maîtres du libre choix de l’organisation pédagogique et introduit la mise en concurrence entre les collègues.
C’est une atteinte grave, non seulement à la liberté pédagogique, mais également une remise en cause profonde de toute l’organisation des écoles ! En effet, une véritable double gestion des écoles va se mettre en place : cycle 2 d’un côté et cycle 3 de l’autre, y compris pour le mouvement.
Par cette mesure Blanquer veut introduire une logique de contrat avec les établissements classées en éducation prioritaire, contrôler et choisir les enseignant-e-s y exerçant et conditionner les moyens accordés à la satisfaction de certains objectifs. Contractualiser c’est introduire la logique de l’entreprise privée dans l’école publique
Sud Education appelle à se mobiliser pour obtenir l’abandon immédiat du profilage des postes de CP et CE1 dédoublés.
L’école n’est pas une entreprise , l’éducation n’est pas une marchandise !
Violation du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) dans la circonscription HG3. Sud Educ 31 écrit au DASEN
Au sein d’une circonscription à Toulouse, au moins, nous avons appris la mis en place de tableau de remplacements, dans lesquels figurent le nom des collègues absent-e-s, l’école d’affectation, la durée de leur absence et leur remplacement éventuel. Ces tableaux ne datent pas d’hier, ceux de fin janvier indiquent même parfois les raisons, comme les congés maternité, dans une colonne appelée «observations».
Notre courrier le lundi matin ici:
Résultat immédiat : le rectorat annonce dans l’après midi qu’il ne sera plus fait usage de ces tableaux, le rectorat annonce tranquillement qu’ils n’ont été hors la loi « que 2 ou 3 jours », le rectorat nous trouve véhément…
Leur réponse ici:
Puisqu’ils mentent, puisque nous assumons d’être véhément.e.s face à ceux qui détruisent le service public d’éducation, nous leur avons rappelé qu’ils ne respectent pas la loi RGPD depuis janvier en fait, que nous continuerons de défendre ardemment tous les personnels.
Notre courrier ici:
AED en lutte
Les AED ont fait grève les 1er décembre et 19 janvier. Le ministre ne répond à aucune de leurs revendications. Alors, ils et elles seront à nouveau en grève et mobilisé.e.s à partir du 22 mars.
Depuis l’automne un mouvement social se développe dans les vies scolaires et des collectifs d’assistant.e.s d’éducation ont vu le jour dans de nombreuses villes et départements du territoire. Le 1er décembre dernier, une première journée de grève massive des assistant.e.s d’éducation a fortement impacté le fonctionnement des établissements scolaire. Un premier appel à une semaine de grèves et de mobilisations a eu lieu en amont de la journée de grève inter-catégorielle dans l’éducation du mardi 26 janvier dernier. Ces mobilisations mettent en lumière une évidence : « les bahuts ne fonctionnent pas sans nous ».
Dans le cadre de la mobilisation nationale des AED la semaine prochaine, le collectif AED-AP-APS de Haute Garonne appelle à plusieurs actions et initiatives sur toute la semaine avec la journée du jeudi 25 mars les RDV suivants :
- 11 heures : AG sur le parvis de St Sernin
- 14 heures : manifestation au départ de Jean Jaurès en direction du Monument aux morts.
Le Communiqué intersyndical de soutien:
« Comme une traînée de poudre »… à Toulouse comme ailleurs, les théâtres occupés !
Le communiqué de Sud Culture, du 12 Mars :
Ce soir, 25 lieux culturels sont occupés, à Paris, Pau, Strasbourg, Saint-Étienne, Nantes, Châteauroux, Besançon, Toulouse, Villeurbanne, Rouen, Niort, Lille, Limoges, Montpellier, Tours, Périgueux, Orléans, Angers, Marseille, Renne, La Motte-Servolex, Amiens, Ivry. Hier il y en avait 12 et il y a deux jours, à la même heure, on en comptait 4. De nombreuses assemblées générales ont lieu chaque jour. Le gouvernement a fait des annonces aujourd’hui (notamment une rallonge budgétaire du plan de relance et l’accès aux congés maladie et maternité pour les intermittent·es) et rien n’est dit clairement ni sur la prolongation de l’année blanche ni sur un horizon et sur les conditions de réouverture des lieux. Quant à abandonner la réforme de l’assurance chômage (qui doit entrer en vigueur au 1er juillet prochain), il n’en est toujours pas question. Il s’agit donc bien de venir d’une main poser quelques rustines tandis que de l’autre on détruit le navire. Pour rappelle, l’une des mesures les plus dévastatrices de la réforme chômage est l’augmentation de la durée de travail nécessaire pour ouvrir des droits. Il faudra avoir travaillé 6mois au lieu de 4 actuellement.
La suite en cliquant ci-dessous :
Occupation du Théâtre National de la Cité-Centre Dramatique National de Toulouse
Quand le fond de l’air est brun…
Attention, le procès de Léo est reporté en 2022.
Communiqué du comité de soutien à Léo:
Nous venons d’apprendre que le procès de Léo est reporté. Suite à une erreur de l’administration, le RN a demandé le renvoi (ils n’ont pas été informés de la tenue du procès!) et l’a obtenu. La date du procès n’est pas encore connue mais il risque de ne pas avoir lieu avant 2022…
Le rassemblement organisé le mardi 23 mars est donc annulé.
C’est un coup dur, mais nous vous remercions pour votre soutien et votre participation solidaire.
Nous vous tiendrons au courant dès que nous aurons connaissance de la nouvelle date, d’ici là la lutte contre l’extrême droite continue !
A bientôt dans la rue.
Le RN, tout de haine vêtu.
Un texte d’une camarade de SUD Education 31-65 pour y voir plus clair.
Mardi 23 mars, mon camarade et ami Léo, instituteur, syndicaliste et militant antifasciste, passe en procès, poursuivi par le Rassemblement National.
Son procès est politique.
Lorsque un élu RN se déguise en victime apeurée, lorsque un syndicaliste dort en cellule, l’inversion des rôles est totale, et vient l’heure de tomber les masques.
A Paris, Montpellier ou Toulouse, protégés par des policiers ou des doyens d’université, les groupuscules fascistes s’agitent, frappent fort. Et tandis que leurs coups pleuvent dans une relative indifférence – fors l’émoi passager de quelque parent peut-être se souvenant qu’en son temps monter une barricade de guingois faisait partie de la formation universitaire, sans pourtant qu’aucun étudiant n’y perdît son latin – c’est aujourd’hui un militant antifasciste qui se retrouve accusé de violence… Par le RN. Ce retournement incroyable, le même qui fait qu’aujourd’hui les antiracistes sont traités de « racialistes », fait que la lutte contre un parti violent et raciste est elle-même associée à de la violence. La judiciarisation de l’affrontement politique fait le reste. Pour comprendre ce retournement, pour comprendre comment notre camarade et ami s’est retrouvé en procès, il faut observer l’histoire du FN / RN. Son histoire est celle d’un déguisement. Je propose aujourd’hui, non seulement d’effeuiller ce parti pour révéler, sous les oripeaux républicains, la menace politique persistante, mais aussi d’étudier à grands traits les différents costumes portés par le fascisme aujourd’hui. Avec comme axe, puisque c’est ce dont absurdement on nous accuse aujourd’hui – Léo, c’est nous – la question de la violence politique.
Dans les années 1970 , le FN naît d’une combinaison de deux tactiques au service d’un même but politique : à la fois une origine fasciste assumée, ancrée dans l’agitation de rue et le coup de poing (Ordre Nouveau, qui sera dissout peu après) et à la fois une volonté d’intégrer le jeu électoral (les législatives de 1973). Le tablier du petit commerçant collabo ou poujadiste et l’uniforme militaire taché de sang algérien : ce sont les premiers vêtements du FN. Ils sont violemment tricolores, avec de forts reflets bruns, assumant une haine de pied-noir pour tous les immigrés. Le Groupement de Recherche pour la Civilisation Européenne, GRECE, calcule et participe à une diffusion progressive de l’idéologie fasciste, à travers des publications comme « Valeurs actuelles » ou « Le Figaro » ; leur « métapolitique » ajoute de ridicules lunettes d’intellectuels à la panoplie frontiste, non sans succès.
Dans les décennies suivantes, le FN prend la place, occupe l’espace. S’ajoutent alors aux premiers uniformes la sage jupe plissée catholique, le bombers du bones néo nazi, et, déjà, quelques costumes trois-pièces un peu cheap, ceux des ultra-libéraux qui haïssent plus que tout la gapette communiste. Dès le début des années 1980, avec Stirbois, la crainte de la gauche unit frontistes et droite dite républicaine : un habit seyant, qui contribue à blanchir le parti aux airs encore trop putschistes. En coulisse, s’affairent quelques groupuscules adeptes de la fourrure à fleur de lys ou du cuir à croix celtique, détenteurs d’un quasi-monopole de la violence de rue fasciste.
Nous le savons et parfois nous l’avons connu, l’âge d’or du FN, c’est les années 1990 : base militante motivée et solide, succès électoraux. Alors, on ne trouve pas grand monde pour nier la violence intrinsèque, endémique et atavique d’une extrême droite qui n’a pas encore caché pudiquement sa haine : des meurtres racistes, ça ne se planque pas si facilement sous le col blanc ou le collier de perles. Grotesque vaudeville bourgeois, en 1998 le costume légué par le vieux-père Le Pen reçoit sa première entaille, celle du fils renégat Maigret, qui dévoie quelques cadres et les revêt d’un nouvel accoutrement, celui du MNR – bien vite relégué au placard, poussiéreux et passé de mode. Pour autant le FN n’est toujours pas bien vêtu, l’uniforme nazi se voit trop sous la chemise : la fronde anti-front bat son plein. A Toulouse, quand Jean-Marie Le Pen vient au Stadium, il est accueilli par des manifestations énormes et offensives, plus capuches noires que badges jaunes.
En 2002, face au complet trop repassé d’un Jospin empesé, le cache-oeil de Jean-Marie Le Pen séduit, et provoque un réveil brusque de la jeunesse, anti-frontiste par habitude depuis les années 1980, mais qui découvre l’imminence du danger électoral. Et tandis qu’une génération qui fait ses premières manifestations de masse trouve un ennemi à abattre sans trop de difficulté – un bulletin Chirac dans l’urne, c’est facile – la griffe Le Pen devient à la fois respectable (éligible) et ringarde pour les nervis fachos. La banalisation opérée par la fille porte ses fruits, et tandis que les candidats n’osent plus refuser de débattre avec un Le Pen ou un autre parce que la crasse fasciste ne se discute pas, les grandes mobilisations anti-Front se font plus rares. Un vernis social de dame patronesse cache le luxe russe des vêtements de la nouvelle dirigeante, et le drapeau français, peut-être trop brandi à gauche, le camaïeu nationaliste, devient un nouvel étendard chez des travailleurs dupés.
Dans la décennie suivante, le costume FN est féminin : le tailleur strict mais propret d’une Marine Le Pen ambitieuse et tactique, époussetant d’un revers de main les postillons révisionnistes de son père, cachant dans un ourlet discret – sans pourtant s’en débarrasser – les Néonazis sapés comme des sapins de Noël. La nièce Marion-Maréchal Le Pen complète l’évolution clinquante d’un parti désormais fringué en habits griffés, glamour et ouvrant toutes les portes. A Toulouse, le parti manifeste auprès des petits patrons contre la reconnaissance de la pénibilité du travail, ou avec Civitas qui s’insurge contre les blasphèmes du théâtre Garonne.
Aujourd’hui , aux frontières pyrénéennes ou méditerranéennes, contre les personnes migrantes, en blousons bleus, fachos d’hier et d’aujourd’hui se retrouvent pour revêtir l’uniforme ancien de la haine raciste et xénophobe. Dans les rayons halal des supermarchés, contre les mères ou les élèves musulmanes, le nouveau vêtement de l’idéologie fasciste, au-delà même du RN, c’est l’islamophobie. Un grotesque bonnet phrygien paré des vertus d’une République aveugle, un costume mal ajusté de combattant laïc, qui a depuis longtemps quitté la veste étriquée du vieux FN : la haine des Musulmans est un costume à la mode, que s’arrachent vieux fachos et jeunes macronistes, flatté par les projecteurs des plateaux de Cnews et BFM, et parfois même porté en toute bonne foi en salle des profs. La mort tragique d’un professeur a d’ailleurs permis aux énarques au pouvoir de peaufiner le déguisement républicain du fascisme gouvernemental : la panoplie de l’extrême droite leur a offert un panel d’épouvantails grotesques, dont celui du péril islamogauchiste n’est sûrement pas le moindre. Dans le même temps, le renouveau militant d’une extrême droite catholique bat le pavé contre les libertés d’autrui – de s’aimer, de se marier, de faire des gosses, de vivre – tandis que le SO nombreux et armé de la Manif pour Tous s’acoquine gentiment avec des Bacqueux bienveillants dont les écussons ne sont pas si différents de ceux des puceaux vendéens. A Toulouse, fin janvier dernier, rescapé.e.s de la dissolution immédiate de la « Manif pour Personne » des militant.e.s trop queer se sont vu interdire l’accès à des rues et des places de la ville, tandis que d’autres plus cis réussissaient à passer. Rue interdite aux cheveux roses, aux hommes à paillettes ou aux femmes trans : comment mieux dire la victoire déjà là de l’idéologie fasciste ? Se croyant tous les droits grâce à sa participation à la campagne municipale, allié d’un maire réactionnaire, le RN tracte sur les marchés toulousains, et ravive le combat ancestral d’une gauche qui n’a pas encore abandonné. Ridicule d’un costume mal taillé, ses militants se déguisent en élus républicains ; eux qui ne sont que haine, violence et péril démocratique réussissent à porter jusqu’au tribunal leurs mines outragées, et à traîner en cellule de garde à vue un enseignant chef de chorale. Retournement carnavalesque et grimaçant, où les fachos jouent les démocrates, et où les militants antifascistes se trouvent convoqués au tribunal.
Darmanin, qui s’y connaît en matière de déshabillage de force, peut se gausser de la dissolution de Génération Identitaire, voulant nous faire oublier que GI vient elle-même d’un groupuscule déjà dissous en 2002 (Unité radicale). L’Union Antifasciste Toulousaine rappelle que « le fascisme n’est pas qu’une organisation, c’est une pensée », et cette pensée, nous l’avons vu, peut revêtir divers oripeaux. Le costume du vigilant endossé par le Premier Flic de France ne doit pas nous faire oublier qu’avant de détruire GI il en a fait de même avec le Collectif Contre l’Islamophobie en France, et qu’avant de déshabiller les Identitaires il a pris soin d’en revêtir le costume, volé, emprunté, copié – pillage vestimentaire reconnu par Marine Le Pen elle-même.
Pour approfondir le sujet, une formation syndicale « antifascisme ».
Vigilance et Initiatives Syndicales Antifascistes co-organise avec l’Union Locale Solidaires Comminges un stage de formation syndicale sur l’antifascisme le 22 et 23 avril 2021, à St Gaudens.
VISA est une association intersyndicale composée de plus de 70 structures syndicales : l’Union Syndicale Solidaires et plusieurs de ses syndicats, des fédérations et des syndicats de la CGT, la FSU et plusieurs de ses syndicats, de la CFDT, de la CNT-SO et le syndicat de la Magistrature. Depuis 1996, VISA recense, analyse et dénonce les incursions de l’extrême droite et plus particulièrement du Rassemblement National sur le terrain social. VISA se veut un outil d’information et de réflexion pour toutes les forces syndicales qui le souhaitent, afin de lutter collectivement contre l’implantation et l’audience de l’extrême droite dans le monde du travail.
Cette formation antifascisme a pour objet de présenter ce qu’est l’extrême droite dans sa diversité et d’outiller les équipes Solidaires pour mieux combattre syndicalement l’idéologie d’extrême droite dans le monde du travail.
Nous aborderons durant ces deux jours plusieurs thématiques :
- comprendre l’historique et l’actualité de l’extrême droite et son rapport avec le monde du travail,
- décryptage du programme économique et social du RN, en l’illustrant des pratiques des mairies tenues par l’extrême droite,
- idéologie de l’extrême droite et offensives médiatiques,
- réponses et ripostes syndicales contre l’extrême droite.
Les contenus pourront être adaptés en fonction de vos attentes, demandes, besoins ou expériences concrètes.
Si vous souhaitez participer à cette formation, faites nous signe !
1871-2021, la Commune a 150 ans !
Pendant 72 jours, les nouvelles du jeudi commémorent l’histoire de celles et ceux qui sont monté.e.s « à l’assaut du ciel » !
Assiégée par l’armée prussienne, affamée et attaquée par la bourgeoisie versaillaise, la Commune n’a pas bénéficié d’un contexte favorable aux expériences sociales. Cela ne l’empêcha pas de prendre des mesures qu’aucune institution républicaine n’a renouvelé depuis 150 ans : réorganisation des services publics, réglementation du travail, réquisition des bâtiments vides et décrets en faveur des locataires, séparation de l’église et de l’état, enseignement public, laïc et obligatoire…
Dans les prochaines éditions des nouvelles du jeudi, nous ferons le point sur ces différentes thématiques. Avec dès la semaine prochaine, un article sur « La Commune et l’école »
La Commune, comme tous les mouvements collectifs, ce sont des femmes et des hommes qui s’associent librement, pour lutter, revendiquer, rêver, construire … mais, « parmi les insurgé·e⋅s, se trouvaient des femmes qui sont invisibilisées. »
Nous ne manquerons pas d’apporter un éclairage sur ce point, dans une prochaine édition des NDJ, avec un article sur les « femmes dans la commune de Paris »
Malgré les circonstances tragiques, les arts furent aussi au cœur des préoccupations révolutionnaires.
Ce sera l’occasion, prochainement, de faire un lien entre la situation actuelle de gestion catastrophique de la culture par le gouvernement dans le cadre de la crise politico-sanitaire.
On en profite également pour vous rappeler la sortie du n°16 des Utopiques (cahier de réflexions de Solidaires) qui traite de ce sujet (et duquel sont issues la plupart des informations écrites au-dessus) :
Cet article Nouvelles du jeudi 18 Mars est apparu en premier sur Sud Education Haute Garonne et Pyrénées.