À Toulouse, un prisonnier identifié comme « vulnérable » a été placé au quartier arrivants, utilisé comme quartier d’isolement par défaut. D’après un document transmis à l’OIP, le maintien dans ce quartier des personnes qui y sont envoyées pour assurer leur sécurité semble conditionné au respect d’une « charte de bon comportement ». Un outil para-disciplinaire qui échappe à tout cadre juridique.
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Voir en ligne : Maison d’arrêt de Toulouse-Seysses : le chantage à la protection comme outil de maintien de l’ordre