Les attaques contre le statut général de la fonction publique se multiplient pour pallier aux suppressions d’emplois et pouvoir déplacer les agent-es comme des pions :
> le contrat en lieu et place du statut,
> la mobilité forcée,
> les plans de départs volontaires,
> la remise en cause des instances de dialogue social, CHS CT et CAP,
> et enfin la rémunération au mérite, qui remet en cause l’objectivité et la neutralité du fonctionnaire dans l’exécution de ses missions, et aggrave les inégalités femmes-hommes.
Dans ce contexte, le « Rendez-vous salarial » (2eme épisode puisqu’un premier, déjà décevant avait eu lieu le 18 juin) aurait dû représenter un enjeu autour de la question de la reconnaissance du travail des agent-es.
Il n’en a rien été…